En France, David Beckham et Jonah Lomu seront les ambassadeurs de la marque aux trois bandes.
« MON NOM est David Beckham et ceci est mon histoire. Je me remémore 1998 et, bien sûr, j'aurais aimé que cela n'arrive pas (il avait été expulsé pendant le Mondial, NDLR). J'ai réagi comme un enfant. J'ai pleuré pendant cinq ou dix minutes (...). Je ne me suis pas senti à l'abri pendant trois ans et demi (...). Tout cela a été dur, mais il faut savoir traverser ces moments. » Cette confession de l'ancien numéro 7 de l'équipe d'Angleterre est l'une des trente retenues par Adidas pour sa nouvelle campagne mondiale « Impossible is Nothing », réalisée par l'agence 180 Amsterdam (180/TBWA).
Elle risque de dérouter les habitués des spots publicitaires de la marque aux trois bandes. Pas question cette fois de mettre en scène des exploits sportifs sur fond de musiques et de lumières agressives. Les athlètes se racontent - via le dessin ou la peinture - dans un moment difficile de leur vie. L'ancien All-Black, Jonah Lomu, se remémore ainsi sa lutte contre le cancer du rein qui a failli lui coûter la vie. Quant au champion d'Europe de marche à pied, le Français Yohann Diniz, il se souvient des rires et des moqueries qui l'accompagnaient au début de sa carrière lorsqu'il s'entraînait.
Nouvelle vague à l'automne
À partir de lundi et jusqu'au 8 avril, c'est donc une campagne télévision intimiste, épurée dans la mise en scène et touchante dans le contenu, qui s'affichera sur les écrans français et Internet. « La cible est clairement celle des 15-24 ans, que nous invitons à réfléchir sur eux-mêmes, sur les objectifs qu'ils se fixent et qu'ils pensent inatteignables », souligne Emmanuelle Gaye, directrice de la communication d'Adidas France. En demandant aux champions sportifs de redevenir des enfants ou des adolescents, et de se souvenir d'un épisode triste de leur vie, l'équipementier joue la carte de la proximité. Une bonne façon de s'attirer les faveurs des jeunes consommateurs.
En France, une seconde vague de la campagne sera lancée à l'automne. Coupe du monde de rugby oblige, elle devrait faire la part belle aux rugbymen. Coût de l'opération de cette nouvelle campagne mondiale : entre 24 et 27 millions d'euros.
« MON NOM est David Beckham et ceci est mon histoire. Je me remémore 1998 et, bien sûr, j'aurais aimé que cela n'arrive pas (il avait été expulsé pendant le Mondial, NDLR). J'ai réagi comme un enfant. J'ai pleuré pendant cinq ou dix minutes (...). Je ne me suis pas senti à l'abri pendant trois ans et demi (...). Tout cela a été dur, mais il faut savoir traverser ces moments. » Cette confession de l'ancien numéro 7 de l'équipe d'Angleterre est l'une des trente retenues par Adidas pour sa nouvelle campagne mondiale « Impossible is Nothing », réalisée par l'agence 180 Amsterdam (180/TBWA).
Elle risque de dérouter les habitués des spots publicitaires de la marque aux trois bandes. Pas question cette fois de mettre en scène des exploits sportifs sur fond de musiques et de lumières agressives. Les athlètes se racontent - via le dessin ou la peinture - dans un moment difficile de leur vie. L'ancien All-Black, Jonah Lomu, se remémore ainsi sa lutte contre le cancer du rein qui a failli lui coûter la vie. Quant au champion d'Europe de marche à pied, le Français Yohann Diniz, il se souvient des rires et des moqueries qui l'accompagnaient au début de sa carrière lorsqu'il s'entraînait.
Nouvelle vague à l'automne
À partir de lundi et jusqu'au 8 avril, c'est donc une campagne télévision intimiste, épurée dans la mise en scène et touchante dans le contenu, qui s'affichera sur les écrans français et Internet. « La cible est clairement celle des 15-24 ans, que nous invitons à réfléchir sur eux-mêmes, sur les objectifs qu'ils se fixent et qu'ils pensent inatteignables », souligne Emmanuelle Gaye, directrice de la communication d'Adidas France. En demandant aux champions sportifs de redevenir des enfants ou des adolescents, et de se souvenir d'un épisode triste de leur vie, l'équipementier joue la carte de la proximité. Une bonne façon de s'attirer les faveurs des jeunes consommateurs.
En France, une seconde vague de la campagne sera lancée à l'automne. Coupe du monde de rugby oblige, elle devrait faire la part belle aux rugbymen. Coût de l'opération de cette nouvelle campagne mondiale : entre 24 et 27 millions d'euros.
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